J’ai rêvé tellement fort de toi,
J’ai tellement marché, tellement parlé,
Tellement aimé ton ombre
Qu’il ne me reste plus rien de toi.
Il me reste d’être l’ombre parmi les ombres,
D’être cent fois plus ombre que l’ombre,
D’être l’ombre qui viendra et reviendra
Dans ta vie ensoleillée.
Robert DESNOS avec lequel je poétise aujourd’hui sur une idée de Gwénaëlle.
Très bonne idée ! Et choisir Turner (Ah Turner !) pour illustrer ce poème renforce chaque mots évoqué. Superbe !
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Merci beaucoup Laurence Délis
Bises
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