Dans les ténèbres tout s’élance – nomade:
Sur la terre ennuyée errance – des arbres
Le vin d’or en train de monter – aux grappes
De maison en maison tournée – d’étoiles
Les cours d’eau à rebours inclinent – à fuir
Et moi je veux sur ta poitrine – dormir.
Grâce à ce poème du 14 janvier 1917 issu du recueil Insomnie et autres poèmes de Marina TSVETAÏEVA, je poétise sur une idée de Gwenaëlle Péron à l’occasion du Printemps des Poètes.
J’ai cherché la version russe, en vain…
J’aime beaucoup ce poème, sa forme…
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La forme de ses poèmes est très originale. Pour le moins en traduction. Je voulais trouver la version originale pour voir comment ça sonne…mais celui-là je ne l’ai pas trouvé…
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Ouais…joli mais bon…ceci dit, moi et la poésie !!
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Vi vi, bien sur…:D 😀
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