Le bruit des gouttes de pluie, maltraitées par le vent qui les jetaient sur les vitres…Le son des gouttes qui s’abattait sur les flaques qui se formèrent bientôt…Il y eut bien quelques oiseaux qui cherchèrent à suivre la rythmique. Mais leurs voix, tues par les eaux, ne pouvaient lutter contre cette batterie céleste. Et les flèches vengeresse eurent raison de leurs envolées lyriques.
©Emilie BERD
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3- Elément réel : ok
Le pluie sur les vitres, c’est magique, non tant pis pour les piafs !
et merci pour ce moment hors du temps, Emilie.
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Les oiseaux sont moins silencieux que les renards peints (faut que j’aille voter d’ailleurs!)Ce matin il y en a un qui n’arrêtait pas de seriner! M’en vais lui expliquer la définition du tapage nocturne,moi! Non, mais!!!😄
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Nous avons eu nous aussi ce concert… que tu racontes si bien. Ce concert, j’ai pas trop aimé…
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Mambo 1 devait reprendre l’entraînement de foot…Il est resté au chaud.
Bises Eva
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Splendide, réellement …
Quelle poésie !
¸¸.•*¨*• ☆
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Oh! Merci beaucoup Celestine.
Bisous chère fee
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Jolie batterie céleste . Tu arriverais presque à me faire aimer la pluie 🙂
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Merci beaucoup Val! Faire contre mauvaise fortune bon cœur?
Bises
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Parfois j’aime la pluie et surtout l’entendre la nuit de de dessous la couette…
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très perceptible toute cette musique si joliment orchestrée! Bravo, Emilie, un beau texte
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