S’il est une période où mon sens de l’adaptation est éprouvé, c’est bien Noël. J’apprécie la période de l’Avent, mais j’ai du mal après. Les repas trop longs, les jours si courts, les enfants survoltés qui se défoulent en courant. Une maison surpeuplée. Il reste encore quelques heures de répit. Alors, j’essaie de dompter ma nature sauvage pour admettre cette fatalité sociale, en priant pour que la lumière revienne et en me disant « Vivement le printemps »!
©Emilie BERD
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1- Ecrit sur le vif : Ok
2- Moins de 100 mots : 76 mots
3- Elément réel : ok
Tu sais quoi ? Je ressens comme toi. Bon, une fois les enfants « grands » ça devient moins « pénible » mais il y a tout ce bazar commercial qui me sort par les oreilles et les yeux, dur d’y échapper.
J’ai aimé le roman peu connu de John Grisham « Pas de Noël cette année », tu vois/tu verras pourquoi, ça dénonce l’absurdité de notre société (que ce soit aux USA ou en Europe…)
Bises
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Eva
Je le note, merci!
Ce gavage commercial qui débute dès octobre! Pouah!
Bisous
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Plus que trois mois avant le printemps 🙂
On se fait un calendrier de l’avent-printemps ?
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Quelle bonne idée !
Je déteste l’hiver, si on pouvait zapper…
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Tres bonne idée! Quatre vers de poème météo? Des citations? Des histoires de papillon?
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A l’allure à laquelle le temps passe, nous y serons bientôt au printemps, Emilie ! 🙂
Bisous.
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Dans trois mois!?
Mais c’est vrai qu’il passe déjà si vite, c’est se faire du mal que de l’espérer voir filer!
Bisous
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Au bout du 200° Noël, il arrive qu’on se lasse ! Je pense au Père Noël, comment il vit tout ça actuellement?
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Tiens! Une idée de conte du Pere Léon?
Bises
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